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Paroisse Notre Dame de l'Assomption
Ham

L’Avent : Un temps pour se préparer à la venue du Sauveur

L’Avent, qu’est-ce que c’est ?
On peut avoir l’impression que le mot “Avent” signifie “avant” Noël. C’est un peu vrai : l’Avent est la période qui précède Noël. Mais ce n’est pas la véritable explication du mot ! En latin, Avent, adventus, signifie “arrivée, venue”. Arrivée de quoi ? De qui ? Pour les chrétiens, ce terme désigne la venue de Jésus-Christ, parmi les hommes : il naît dans la crèche, petit enfant. Pendant l’Avent, les chrétiens se préparent à sa venue – à Noël, et à la fin des temps. C’est donc un temps d’attente.

Quand a lieu exactement l’Avent ?
L’Avent commence le quatrième dimanche du mois avant Noël, et dure à peu près un mois. Il arrive donc chaque année à une date différente. Cette année l’Avent débute le dimanche 1er décembre.

Que fait-on pendant l’Avent ?
Pendant cette période, on prépare Noël : on achète le sapin, on décore la maison et l’école, on concocte les cadeaux, on songe au menu de la fête, parfois aussi on installe une crèche…Les enfants sont alors impatients de voir la fête arriver ! Certains rituels, comme celui de la couronne de l’Avent, permettent de rythmer cette attente. On y allume une bougie nouvelle chaque dimanche.

Quelle est l’origine du calendrier de l’Avent ?
Autre tradition, celle du calendrier de l’Avent. Inventé en Allemagne au XIXe siècle, il consiste en un décor de 24 fenêtres à ouvrir progressivement, une par jour, jusqu’à Noël.

L'article complet ainsi que d'autres ressources sont disponibles ici.

L'année liturgique A

L'année liturgique propose aux chrétiens de revivre l'histoire du salut au cours d'une année. Elle s’articule autour des principaux moments de la vie du Christ : sa naissance (Noël), sa mort et sa résurrection (Pâques), et le don de l'Esprit (Pentecôte). Elle commence le premier dimanche de l'Avent et s'achève avec le dimanche du Christ roi, fin novembre.

Le rapport entre Bible et liturgie
Depuis Vatican II, nous sommes donc invités à lire chaque année un des trois Évangiles synoptiques. Pour l'année A, c'est l'Évangile selon saint Matthieu), l'année B (Marc) et l'année C (Luc). L'Évangile selon saint Jean est lu plus spécialement lors des fêtes, durant toutes les années liturgiques. Il présente en effet des caractères distincts, qui en font un évangile à part. Le cycle des années A,B et C se répètent tous les 3 ans.

L’année liturgique ne commence pas avec l’année civile mais avec le premier Dimanche de l’Avent. Après le premier temps fort (Avent-Noël) viennent une première série de Dimanches du Temps ordinaire. Vient alors le deuxième Temps fort (Carême-Pâques-Pentecôte), et enfin la suite des Dimanches du Temps ordinaire.

Pour chaque dimanche de l’année, trois lectures sont prévues : la première est tirée de l’Ancien Testament; la seconde est un passage d’une lettre apostolique (principalement de Paul); la troisième est l’Evangile du dimanche et c’est ce dernier qui donne la tonalité à la liturgie du jour.

L'article complet est disponible ici.

Qu’est-ce qu’un diacre ?

Définition du mot diacre : « diacre » vient du mot grec «diaconos» qui signifie «serviteur».

Le diacre est un homme marié ou célibataire qui a répondu à un appel de l’Eglise catholique pour être signe du service.

Après un temps de discernement et de formation, il est ordonné par l’évêque de son diocèse qui lui confie une mission.

Ordonné pour la vie, le diacre exerce un ministère au service de la Charité, de la liturgie, de la Parole de Dieu.

Par sa présence, il aide les baptisés à vivre le service de Dieu et des hommes dans le monde à la suite du Christ serviteur : "Et moi je suis au milieu de vous comme celui qui sert" Lc 22,27.

La source est disponible ici.

Davantage de détails sur les diacres de note diocèse ici.

Comment se fait la présentation d’un nouveau curé à la communauté paroissiale ?

C’est l’évêque du diocèse, ou un délégué de l’évêque, qui vient présenter le nouveau curé à la paroisse. Cette cérémonie est appelée "présentation" ou "installation" du curé. Au début de la célébration, après la salutation, on peut lire "lettre de nomination" qui exprime le cadre et le contenu de la mission confiée au nouveau curé.

Le curé proclame lui-même l’Évangile, et avant il reçoit de l’évêque le livre et demande sa bénédiction. L’homélie terminée, l’évêque peut faire renouveler au curé les promesses qu’il a faites à son ordination sacerdotale :

" - Voulez-vous accomplir avec sagesse et dignement le ministère de la Parole en annonçant l’Évangile et en exposant la foi catholique ? - Oui, je le veux
- Voulez vous célébrer avec foi les mystères du Christ, tout spécialement dans le sacrifice eucharistique et le sacrement de réconciliation, selon la tradition de l’Église, pour la louange de Dieu et la sanctification du peuple chrétien ? - Oui, je le veux
- Voulez vous implorer avec nous la miséricorde de Dieu pour le peuple qui vous sera confié, en étant toujours assidu à la charge de la prière ? - Oui, je le veux
- Voulez vous, de jour en jour, vous unir davantage au souverain prêtre Jésus Christ qui s’est offert pour nous à son Père en victime sans tache, et vous consacrer à Dieu avec lui pour le salut du genre humain ? - Oui, je le veux, avec la grâce de Dieu.
- Promettez-vous de vivre en communion avec moi et mes successeurs, dans le respect et l’obéissance ? - Je le promets.
- Que Dieu lui-même achève en vous ce qu’il a commencé."


Dans la prière universelle, on profère une intention spéciale pour l’évêque et le nouveau curé. Au moment du rite de paix, le curé lui-même donne la paix à quelques fidèles qui représentent la communauté paroissiale.

La suite et la source sont disponibles ici.

L'Assomption

Le 15 août, les catholiques célèbrent l’Assomption de Marie, c’est-à-dire sa montée au ciel sans avoir connu la corruption de la mort.
Cette grande fête mariale date des premiers siècles de l’Eglise. Première créature humaine à entrer avec son corps et son âme dans la gloire de Dieu, Marie préfigure notre destinée.
La suite et la source sont disponibles ici.

Les Rameaux

La fête des Rameaux (14 avril 2019) ouvre la Semaine Sainte.
Cette fête fait mémoire de ces jours où Jésus fut acclamé comme un roi par les habitants de Jérusalem qui le saluaient avec des palmes, avant d’être condamné à mort comme un malfaiteur.
Les « rameaux » de feuillage toujours vert, bénis par le prêtre, rappellent que la vie ne finit pas.
La suite et la source sont disponibles ici.

Le carême

Le carême est la période de 40 jours qui précède le jour de Pâques, événement central du christianisme. Il rappelle les 40 jours que Jésus a passés au désert. Il commence le mercredi des Cendres et s’achève au jour de Pâques. C'est un temps de jeûne et de conversion. Il commence en 2019 le 6 mars.
Inscrivez-vous à notre parcours "Carême à l’école des mystiques" et vivez 40 jours de profondeur spirituelle.
La suite et la source sont disponibles ici.

MYSTERIUM FIDEI

L'abbé Fromont nous invite à relire MYSTERIUM FIDEI, LETTRE ENCYCLIQUE DE SA SAINTETÉ LE PAPE PAUL VI SUR LA DOCTRINE ET LE CULTE DE LA SAINTE EUCHARISTIE du 3 septembre 1965.
La lecture est disponible ici.

Samedi 2 février...

Samedi 2 février, nous célébrons la vie consacrée, l'occasion pour nous de redécouvrir la richesse de ces vies données au Seigneur et prier pour ceux qui, au quotidien, prient pour nous... Le 2 février, nous fêtons aussi la Chandeleur... nous mangerons des crêpes mais pas seulement...

Zoom sur ces deux évènements, entre tradition et partage d'Evangile !
Samedi 2 février, fêtons la Chandeleur… : c'est ici.
Journée de la vie consacrée : c'est ici.

L'élévation pendant la messe... quel sens y mettre ?

Suite au questionnement d'une paroissienne, le père Daleb a pris le temps de répondre :
"Je vais d'abord vous expliquer ce qui se passe pendant l'élévation avant de vous suggérer l'attitude à avoir à ce moment.

Quel est le sens de l’élévation de l’hostie après la consécration ?
Ce geste a un but clairement défini : exposer le pain de vie au regard des fidèles. Le missel romain le précise explicitement : « [Le prêtre] montre au peuple l’hostie consacrée ». Ce geste est posé pour permettre aux fidèles de reconnaître que cette hostie n’est plus du pain mais le Christ, et de prolonger cet acte de foi par un acte d’adoration.

Il ne faut pas confondre ce geste avec ce que l’on a coutume d’appeler la « petite élévation », faite à la fin de la prière eucharistique, et qu’accompagnent ces paroles : « Par Lui, avec Lui et en Lui, à Toi, Dieu le Père tout-puissant, tout honneur et toute gloire pour les siècles des siècles. Amen ». Là, il ne s’agit plus de montrer le Christ, mais de L’offrir en sacrifice au Père pour le salut du monde.

Quelle doit être l’attitude des fidèles à ce moment-là ?
Ils ne doivent pas se prosterner ou s’incliner tout de suite, mais d’abord prendre le temps de regarder Jésus et se laisser regarder par Lui. Le pape saint Pie X, à travers le rescrit du 18 mai 1907, a rappelé l’importance du regard tourné vers l’hostie à cet instant. Il ajoutait que des grâces importantes sont alors accordées aux fidèles qui le demandent avec foi et amour. L’élévation doit donner lieu à un échange de regards."

écrit par le père Daleb

A propos de la crèche... le saviez-vous ?

Ce dimanche 13 janvier, c'est la fin du temps de Noël, même si traditionnellement la crèche n'est déposée que le 2 février, jour de la présentation au Temple (Chandeleur). Dès lundi, nous prendrons les textes de ce qui est nommé en français le "Temps Ordinaire".

écrit par le père Daleb

Qui étaient les Rois mages ?

Le récit évangélique de Matthieu ne dit presque rien des Rois mages. Seulement qu'ils ont vu se lever une étoile et qu’ils l'ont suivie. Qui étaient-ils ? Combien étaient-ils ? La "Légende dorée" puis la Tradition et la piété populaire ont comblé ces lacunes à travers les siècles. Publié en décembre 2016.

Les noms des mages
C'est dans l'évangile de Matthieu que l'on trouve le récit de l’épiphanie. Il raconte que des mages venus d'Orient ont été guidés par une étoile jusque vers Jésus qui venait de naître. "Ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l'or, de l'encens et de la myrrhe.", écrit-il. Matthieu ne nomme pas du tout les mages dans son évangile. Le récit ne dit même pas qu'ils sont trois. C'est sans doute parce qu'on y lit qu'ils offrent l'or, l'encens et la myrrhe que la tradition populaire en a déduit qu'ils étaient trois.Ce n'est que vers le VIe siècle qu'apparaissent les noms de Gaspard, Melchior et Balthazar. Les mages n'étaient pas des juifs : ils représentent tous les non-juifs, tous les peuples de la terre pour qui Jésus est né.Leur provenance géographique les disperse au gré des découvertes de l'époque - vers le XIVe siècle : Gaspard en Asie, Balthazar en Afrique, Melchior en Europe. La curiosité populaire les a imaginés dans différents rôles de représentation, comme l'évocation des trois âges de la vie : la jeunesse, l'âge mûr et la vieillesse.

Ces mages seraient des savants perses, établis à Babylone, l'actuel Irak, à la fois philosophes et astronomes : « La grande conjonction de Jupiter et de Saturne dans le signe zodiacal des Poissons en 6-7 avant J.-C. semble être un fait vérifié. Elle pouvait orienter des astronomes du milieu culturel babylonien et perse vers le pays de Juda, vers un “roi des juifs”.»

Des présents symboliques
A la fin du XIIIe siècle, Jacques de Voragine (Iacoppo da Varazze vers 1228 - Gênes, 1298) était un chroniqueur italien du Moyen Âge, archevêque. Dans ce que l'on appelle "La Légende dorée" (écrite entre 1261 et 1266) et qui relatait de grands épisodes bibliques ou la vie de quelques 150 saints, saintes ou martyrs.

Cette "Légende dorée" perpétua la Tradition.

Voici le portrait des Rois mages dressés par Jacques de Voragine : "Le premier des Mages s’appelait Melchior, c’était un vieillard à cheveux blancs, à la longue barbe. Il offrit l’or au Seigneur comme à son roi, l’or signifiant la Royauté du Christ.

Le second, nommé Gaspard, jeune, sans barbe, rouge de couleur, offrit à Jésus, dans l’encens, l’hommage à sa Divinité.

Le troisième, au visage noir, portant toute sa barbe, s’appelait Balthazar ; la myrrhe qui était entre ses mains rappelait que le Fils devait mourir".


Source : croire.la-croix.com

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