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Paroisse Notre Dame de l'Assomption
Ham

Les indulgences pléinières

Les fidèles bénis par le prêtre nouvellement ordonné dès la sortie de la célébration ainsi que ceux qui assisteront à leur première messe obtiendront une indulgence plénière.

Qu’est-ce qu’une indulgence plénière ?
C'est la remise entière de la peine due au péché, celle-ci n’excluant pas la réception du sacrement de réconciliation.

Source et suite de cet article disponible sur le site du diocèse ici.

On vous explique l’ordination presbytérale

Les différents temps de l’ordination presbytérale

1.L’appel du candidat
« Que celui qui va être ordonné prêtre s’avance…» « Me voici »
Au début de la célébration, l’Eglise locale demande à l’évêque d’ordonner le candidat (ordinand) pour la charge du presbytérat. Un prêtre, désigné pour cela, atteste à l’évêque qui l’interroge publiquement, que le candidat a été jugé digne d’être ordonné. L’évêque dit alors : « Avec l’aide du Seigneur Jésus-Christ, notre Dieu et notre Sauveur, nous les choisissons pour l’ordre des prêtres ». Ce choix est accueilli par un chant comme l’hymne du Gloire à Dieu.

2.L’engagement de l’ordinand
Devant l’évêque et les fidèles rassemblés, le candidat exprime sa volonté d’exercer sa charge en conformité avec la pensée du Christ et de l’Eglise, sous la conduite de l’évêque. Il le signifie en mettant ses mains dans celles de l’évêque et promet de vivre en communion avec lui et ses successeurs, dans le respect et l’obéissance.
Tous implorent la grâce de Dieu pour l’ordinand. L’appel adressé à l’ordinand dépasse ses propres forces : c’est en se laissant investir par le Seigneur qu’il pourra vraiment accomplir sa mission. C’est pourquoi la force de l’Esprit est demandée pour lui et avec lui, cette force qui a guidé tant de saints et de saintes à travers l’histoire.

3.L’imposition des mains de l’évêque et la prière d’ordination
Le candidat reçoit le don de l’Esprit Saint pour la charge qui lui est conférée. Répétant les gestes déjà adoptés par les premières communautés chrétiennes, l’évêque puis les prêtres imposent les mains : geste de bénédiction et de prière silencieuse, geste pour rappeler et manifester sur l’ordinand la puissance de l’Esprit Saint. L’imposition des mains signifie la mission confiée par le Christ, mission qui se transmet par les mains des Apôtres et de leurs successeurs : « Père tout puissant, donne à tes serviteurs que voici, d’entrer dans l’ordre des prêtres… »

4.Vêture, onction des mains, remise du pain et du vin
Aussitôt après la prière d’ordination, on revêt l’ordonné de l’étole presbytérale et de la chasuble, pour que soit manifesté extérieurement le ministère qu’il devra accomplir dans la liturgie. Puis, l’évêque répand dans les paumes des mains du nouveau prêtre l’huile sainte, mêlée de parfum que l’on appelle le saint Chrême. Cette onction signifie le don de l’Esprit-Saint qui fortifie le prêtre « pour sanctifier le peuple chrétien ». Enfin, le nouveau prêtre reçoit le pain et le vin, qui deviendront dans l’eucharistie le Corps et le Sang du Christ. L’évêque leur dit alors : « Ayez conscience de ce que vous ferez, imitez dans votre vie ce que vous accomplirez par ces rites et conformez-vous au mystère de la croix du Seigneur…. ».

5.Le baiser de paix
En donnant un baiser fraternel au nouveau prêtre, l’évêque scelle l’acceptation de celui-ci comme son ministre. Les autres prêtres font de même et manifestent ainsi qu’ils sont en communion de ministère, membre d’un même ordre.
Dans la liturgie eucharistique qui suit, le nouveau prêtre exerce pour la première fois son ministère en concélébrant avec l’évêque et les autres prêtres.

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Regard sur la messe chrismale

1. Sens
La Messe Chrismale est célébrée par l’évêque pendant la Semaine Sainte. Elle a pour objet de consacrer le Saint-Chrême et de bénir l’Huile des Catéchumènes et l’Huile des Malades. Elle a reçu cette appellation parce que c’est au cours de cette célébration que le Saint-Chrême est consacré. Elle est appelée souvent Messe des Saintes Huiles.

2. Origine
Il y a peu d’étude sur l’origine et l’histoire de la Messe Chrismale. Nous savons cependant qu’au VII° siècle, à Rome, le pape célébrait vers midi dans sa cathédrale du Latran une messe particulière au cours de laquelle il consacrait les huiles qui serviraient pour les sacrements. L’ensemble des prêtres de la ville étaient invités à y participer.

3. Histoire de la Messe Chrismale

A. Bénédiction et consécration des huiles
L’histoire de la Messe Chrismale est mieux connue en Gaule. Au VIII° siècle, c’est au cours de la messe du soir que l’évêque consacre le Saint-Chrême et procède à la bénédiction des huiles. Vers 950, les Saintes Huiles étaient processionnellement apportées à l’évêque, procession à laquelle participaient 12 prêtres qui étaient les coopérateurs du pontife. Celui-ci faisait le mélange du baume et de l’huile et soufflait trois fois sur le Saint-Chrême.
Après le Concile de Trente, la « Messe des Saintes Huiles » est reportée au jeudi matin et elle perd en partie sa dimension ecclésiale car l’ensemble des prêtres n’y participe pas. Il y a seulement 12 prêtres qui entourent l’évêque pour la bénédiction des huiles.

B. Renouvellement des promesses sacerdotales
Paul VI en 1969 apporte une nouvelle étape dans l’histoire de la Messe Chrismale, elle est célébrée le soir. Il en fait une fête du sacerdoce à laquelle tous les prêtres sont invités, et au cours de laquelle ils sont invités à renouveler l’engagement qu’ils ont pris à leur ordination. Le Jeudi saint est ainsi considéré comme la fête des prêtres. Le Jeudi saint, le pape Jean-Paul II adressait chaque année une lettre aux prêtres. C’est Jean-Paul II qui a pris cette initiative. En 2002, la lettre portait sur la réconciliation, en 2003 sur l’eucharistie. Benoît XVI n’a pas continué cette tradition.

C. Fête diocésaine
Actuellement le caractère communautaire de la Messe Chrismale s’accentue. Dans tous les diocèses, prêtres diacres et fidèles se réunissent pour célébrer la Messe Chrismale avec leur évêque. La messe a lieu habituellement dans la cathédrale du diocèse. C’est parfois dans une autre église pour favoriser la participation des fidèles. Cette messe devient une fête diocésaine à laquelle on invite les fidèles à participer. C’est, semble-il, encore un renouveau dans l’histoire de la Messe Chrismale.

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La fête de L’Annonciation

Samedi 25 mars, nous célébrons la fête de L’Annonciation.

Cette fête, dédiée à la Vierge Marie, est d’abord la fête de l’Incarnation puisque Dieu commence en Marie sa vie humaine qui conduira Jésus jusqu’à la Croix et la Résurrection, jusqu’à la Gloire de Dieu.

Quel évangéliste nous raconte cet épisode de la vie de Marie?

Dans la Bible, le récit de l’Annonciation est raconté par l’évangéliste Luc (1, 26-38). Chaque année, l’Église entend à nouveau l’histoire de Marie, une jeune fille de Galilée qui accueille l’annonce de l’ange Gabriel. L’attitude de Marie, réceptive à cette parole étonnante, est le modèle du chrétien qui cherche à accueillir la parole de Dieu.

Quelques repères pour comprendre...

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Fêtons l’Epiphanie avec les rois mages !

Vendredi 6 janvier, c’est la fête de l’Épiphanie qui célèbre la manifestation de Dieu aux mages.
« Ils se prosternèrent et l’adorèrent. Ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. » Focus sur les rois mages .

Comment s’appelaient les mages ?
C’est dans l’évangile de Matthieu que l’on trouve le récit de l’Épiphanie. Il raconte que des mages venus d’Orient ont été guidés par une étoile jusque vers Jésus qui venait de naître. « Ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. », écrit-il. Matthieu ne nomme pas du tout les mages dans son évangile. Le récit ne dit même pas qu’ils sont trois. C’est sans doute parce qu’on y lit qu’ils offrent l’or, l’encens et la myrrhe que la tradition populaire en a déduit qu’ils étaient trois. Ce n’est que vers le VIe siècle qu’apparaissent les noms de Gaspard, Melchior et Balthazar. Les mages n’étaient pas des juifs : ils représentent tous les non-juifs, tous les peuples de la terre pour qui Jésus est né. Leur provenance géographique les disperse au gré des découvertes de l’époque – vers le XIVe siècle : Gaspard en Asie, Balthazar en Afrique, Melchior en Europe. La curiosité populaire les a imaginés dans différents rôles de représentation, comme l’évocation des trois âges de la vie : la jeunesse, l’âge mûr et la vieillesse.

Ces mages seraient des savants perses, établis à Babylone, l’actuel Irak, à la fois philosophes et astronomes : La grande conjonction de Jupiter et de Saturne dans le signe zodiacal des Poissons en 6-7 avant J.-C. semble être un fait vérifié. Elle pouvait orienter des astronomes du milieu culturel babylonien et perse vers le pays de Juda, vers un “roi des juifs”.

Des présents symboliques…
A la fin du XIIIe siècle, Jacques de Voragine (Iacoppo da Varazze vers 1228 – Gênes, 1298) était un chroniqueur italien du Moyen Âge, archevêque. Dans ce que l’on appelle « La Légende dorée » (écrite entre 1261 et 1266) et qui relatait de grands épisodes bibliques ou la vie de quelques 150 saints, saintes ou martyrs. Cette « Légende dorée » perpétua la Tradition.

Le premier des Mages s’appelait Melchior, c’était un vieillard à cheveux blancs, à la longue barbe. Il offrit l’or au Seigneur comme à son roi, l’or signifiant la Royauté du Christ.

Le second, nommé Gaspard, jeune, sans barbe, rouge de couleur, offrit à Jésus, dans l’encens, l’hommage à sa Divinité.

Le troisième, au visage noir, portant toute sa barbe, s’appelait Balthazar ; la myrrhe qui était entre ses mains rappelait que le Fils devait mourir.

Et la galette…
Ce ne sont pas les mages qui ont apporté la galette! En France, la coutume de la galette existe depuis le XIVe siècle lorsque les domestiques devenaient les maîtres, et inversement, l’espace d’une journée. Le « roi de la fête » était alors celui qui trouvait une fève dans un gâteau.

La tradition a perduré et veut que, pour le jour de la Fête des rois mages, on partage un gâteau dans lequel est dissimulée une fève. Cette galette ronde, plate et de couleur dorée représente le soleil, le retour de la lumière après les longues nuits d’hiver. Et dernier fait surprenant : la galette des rois est une tradition typiquement française !

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